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LE LAMENTIN - 97129   Mairie

La commune, intégrée à l'agglomération de Pointe-à-Pitre, s'étend dans la partie nord de Basse-Terre. Son bourg se situe au fond de la baie du Grand Cul-de-Sac marin. Trois îlets lui sont rattachés : Christophe, Fajou, Caret.

Si vous avez des nouvelles concernant cette commune, envoyez-nous un message :      contact@imct.info


09/08/2016

Depuis ce matin, deux lamantins barbotent dans le Grand Cul-de-sac marin. Plus précisément dans le bassin aménagé par le Parc national, à Blachon. Ils sont arrivés par un vol spécial en provenance de Singapour.

Kai et Junior, deux mâles, ont fait un demi-tour de la terre à bord d'un avion-cargo de la Singapour Airlines, avant d'atterrir cette nuit sur le tarmac de Pôle Caraïbes. Ils ont été aussitôt pris en charge par une équipe du Parc national qui les a acheminés vers le parc de Blachon où ils vont vivre les prochaines années.


29/10/2015

Le centre thermal de Ravine chaude au Lamentin devrait ouvrir au premier trimestre 2016, mais prochainement, l'eau coulera dans les tuyaux pour s'assurer du bon fonctionnement du système de pompage.

La réhabilitation du centre thermal de Ravine chaude au Lamentin se poursuit. Le gros oeuvre est fini. Les deux bassins sont terminés ou presque. Et depuis quelques jours, les ouvriers s'activent pour une mise en eau le jeudi 3 décembre. Tiendront-ils leur pari ? En tout cas, il s'agit de s'assurer du bon fonctionnement du système de pompes avant l'ouvertute prévue au premier trimestre 2016. Un nouveau système de filtration et de pompes a été installé pour que le site soit autonome. Il ne sera pas branchée sur le réseau public. L'eau utilisée par les bassins sera réutilisée pour les douches, les toilettes et les espaces verts. C'est ce qu'on appelle, dans le jargon environnemental, l'économie circulaire.


06/02/2015
Samedi, grande première en Guadeloupe, avec la visite guidée du centre d'élevage du lamantin, à Blachon/Lamentin.

  

La Guadeloupe va recevoir, au début du mois d'avril, cinq lamantin (Trichechus manatus manatus), deux mâles — nommés Netuno, Toquinho — et trois femelles — Marbela, Sereia, Xuxa. Actuellement au Brésil, ils seront acheminés vers la Guadeloupe par avion spécial, grande première mondiale, nous dit Wilfrid Démonio, directeur de la communication du Parc national.

Il y avait des lamantins en Guadeloupe jusqu'à la fin du XIXe siècle. Ils ont été éliminés par l'homme qui se nourrissait de sa chair.

Dès 1904, l'État de Floride a interdit la chasse de ces animaux inoffensifs. Elle est aujourd'hui prohibée dans le monde entier. Les lamantins figurent depuis 1973 sur la liste des espèces en voie de disparition.

Depuis une dizaine d'années, il y a une volonté des autorités du Parc National de réintroduire le lamantin en Guadeloupe, dans le Grand Cul-de-sac marin. L'arrivée à la présidence du Parc National de Ferdy Louisy, élu depuis l'an dernier président des parc nationaux de France, a relancé le projet et l'a accéléré.

Un projet pilote de portée mondiale

Aujourd'hui, les bestioles ont été sélectionnées, réservées, dans un parc au Brésil. Il s'agit d'animaux trouvés bébés en état de perdition, élevés au biberon, choyés, qui ont donné naissance à plusieurs petits.

La réintroduction du lamantin en Guadeloupe est un projet pilote de ramener à un endroit où elle existait auparavant une espèce en voie d'extinction. C'est aussi une première mondiale qui sera observée de près par les instances internationales.

Un centre d'élevage des lamantins a été créé à Blachon, qui va accueillir ces cinq mammifères. Il s'agit de faciliter leur reproduction puisque ce sont les bébés qui seront libérés dans le Grand Cul-de-sac marin au bout de deux ou trois ans, afin qu'ils repeuplent la zone protégée. Pour ce faire, le contact avec l'homme sera le plus limité qu'il possible.

C'est pourquoi le centre d'élevage sera fermé au public, hors de rares journées portes ouvertes, dont celle de ce samedi qu'il ne faut surtout pas manquer... même si les lamantins sont toujours au Brésil.

Pas de réservation possible, visites guidées à partir de 10 heures par petits groupes. 


*Solution IP en Guadeloupe

Dans le cadre de ses efforts pour assurer la sécurité de sa population, la ville du Lamentin, située en Guadeloupe, a déployé une solution vidéo sur IP IndigoVision sur l'ensemble de la commune. Située à proximité du Parc national de la Guadeloupe, la ville du Lamentin compte plus de 16 000 habitants. Afin de remédier aux dégradations, aux comportements anti-sociaux et au trafic de drogue local, les autorités municipales ont décidé de faire appel à un système de surveillance à la pointe du progrès. Parmi les critères du cahier des charges, il était essentiel que le dispositif soit évolutif, d'installation simple et rapide, et n'entraîne pas de perturbation ou de travaux importants. Le choix d'un équipement vidéo sur IP associé à un réseau sans fil s'imposait tout naturellement.

Le dispositif a porté des fruits, dès sa mise en œuvre. Même si le lycée professionnel possédait un système de vidéosurveillance, des zones hors de l'enceinte de l'établissement donnaient toujours du fil à retordre aux autorités, notamment en matière de graffitis et d'agressions. Le proviseur résume la situation en ces termes : « La mise en place d'une caméra aux abords du lycée, directement reliée au poste de police, a permis de décourager de nombreux délinquants. Nous avons ainsi pu constater une baisse notable des graffitis et actes de violence. »

L'architecture distribuée d'IndigoVision permet de placer tout composant du système (caméra, poste de vidéosurveillance et Enregistreur Vidéo) à n'importe quel endroit du réseau sans fil. Tant les agents de la police municipale que les gendarmes ont donc la possibilité de visionner les images depuis leurs propres postes de vidéosurveillance, et ce, bien que les deux centres de commande soient situés à plus de 3 km de distance. La flexibilité du système est telle qu'il peut être étendu à d'autres secteurs de la ville à moindre frais. Ce genre d'extension peut être temporaire. La mairie a la possibilité d'ajouter des caméras supplémentaires lors de grands événements, comme la fête municipale annuelle par exemple.

L'ensemble des caméras a été fourni par IndigoVision (dômes 9000 IP PTZ, dômes et caméras fixes). Elles sont raccordées directement au réseau, afin de réduire les coûts d'installation. Les fonctionnalités ACF et d'analyse d'images en temps réel peuvent y être activées. L'application ACF module la fréquence de trame du flux vidéo en fonction de la quantité de mouvements dans le lieu surveillé. En l'absence d'activité, la vidéo est diffusée à un degré de sollicitation minimale de bande passante. Dès qu'un mouvement est détecté, la vidéo est instantanément transmise à la fréquence de trame maximale configurée. Cela signifie une réduction considérable de la bande passante et des besoins en stockage vidéo, particulièrement pour les caméras surveillant des scènes la plupart du temps statiques ou durant les périodes calmes (pendant la nuit, notamment). L'Hôtel de ville envisage également d'avoir recours aux outils d'analyse sur certaines caméras afin de détecter automatiquement les voitures stationnées illégalement.

Les Enregistreurs Vidéo en Réseau (NVR) autonomes d'IndigoVision placés dans les bureaux de la police municipale conservent les vidéos de l'intégralité du réseau pendant 30 jours. Grâce aux outils d'analyse de « Control Center », le logiciel de gestion vidéo d'IndigoVision, les agents peuvent rapidement identifier l'enregistrement adéquat lors d'un incident. Les séquences vidéo filigranées de qualité sont exportables et exploitables par les forces de l'ordre.

 

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